Il n’est pas facile d’être une maman célibataire, de nombreuses femmes en témoignent ! Cette fois-ci, c’est un papa qui est seul pour élever sa fille Persephone, née en janvier 2015. La maman de cette petite puce est partie alors qu’elle n’avait que deux mois. Richard Johnson, le papa, explique alors sur la page Facebook « Life of Dad » qu’il « pense qu’elle a souffert de dépression post-partum« .
Pensant qu’il n’allait pas s’en sortir, ce jeune papa de 21 ans est venu chercher du réconfort et des conseils auprès d’autres papas sur cette page Facebook qui comprend de nombreux témoignages de pères dans la même situation que lui. Dans un post qu’il a écrit sur la page, accompagné d’une photo de lui et de sa petite choupette, il explique qu’il vient d’une famille de parents divorcés. Sans père, sa mère l’a donc élevé seul, voilà pourquoi, il ne voulait pas offrir la même vie qu’il avait eu, à sa fille.
Grâce aux témoignages, il a réussi à remonter la pente
Dans son message très émouvant, il confie : « J’avais tellement peur de devoir tenir deux rôles à la fois. Je n’étais pas sûr d’y arriver », avant d’ajouter : « Je me critique sans cesse sur ma capacité à être un bon père et je pense que vos mots gentils sont le médicament dont j’avais besoin. »
Avec ce message très touchant adressé aux papa présents sur cette page, Richard Johnson a tenu à les remercier, en son nom, et celui de sa fille Persephone : « En regardant les photos et en lisant les histoires de pères comme moi, j’ai repris confiance, vous nous avez vraiment beaucoup aidés ma fille et moi. Nous venons de loin et je voulais vous dire merci du fond du cœur. »
Il n’en veut pas à la mère de sa fille
Son post a ému plus d’une personne présente sur la Toile, et a donc suscité beaucoup d’intérêt. Ainsi, de nombreux internautes ont félicité le papa, mais n’ont toutefois pas oublié la maman de Persephone, qui n’a pas été épargnée. Mais bien qu’elle soit partie peu après la naissance de la petite, Richard Johnson ne lui en veut pas. Ainsi, il a demandé à tous de ne pas la blâmer : « Sa mère est une femme formidable et je souhaite demander aux personnes qui ont dit des choses négatives à son sujet d’arrêter […] Je lui souhaite beaucoup de bonheur. »