
C’est la rentrée ! Et pas que pour les jeunes Français, pour nous aussi ! Parce qu’une année de grossesse, c’est un peu une année de terminale en fait : 9 mois, des tonnes de trucs à apprendre (épisiotomie ou Épicure, c’est kif-kif), un événement exceptionnel à la fin et une nouvelle vie en perspective. Pas convaincues les filles ? On vous l’explique en gif.
Premier trimestre : on se constitue une bonne bibliothèque
Les futurs bacheliers achètent tous les annales des bacs précédents, quelques livres de philosophie (d’Aristote à Nietzsche, ça en fait quand même un paquet), et les plus forcenés craquent pour les Mémoires de guerre (conseillées par leur grand-père). Les futurs parents amassent des montagnes de livres de puériculture, pour se préparer à devenir papa et maman, et à vivre les longs mois de grossesse. Après, c’est vrai qu’on risque de les ouvrir un peu plus souvent que les petits terminales, nos livres. Quoique…
Deuxième trimestre : le bachotage
Pour les terminales, le bac se rapproche et le bulletin du premier trimestre est tombé… De quoi mettre un bon coup d’accélérateur. Pour les futurs parents, on voit le ventre qui commence à grossir, et on se dit qu’il va peut-être falloir passer la deuxième si l’on veut être prêts quand notre petit trésor arrivera. D’autant que nos proches sont enfin prévenus, et qu’ils peuvent nous mettre la pression et nous poser des colles du genre « et la méthode Bonapace, tu y as pensé ? ».
Troisième trimestre : on finit par se tourner les pouces
Quand arrive le mois de mai, il ne faut pas se voiler la face, les lycéens n’ont pas forcément la tête à se plonger dans les études. Et puis, les bons élèves connaissent déjà l’essentiel du programme, et les cancres « y vont au talent« , de toute manière. Alors les révisions de dernière minute, ce n’est pas franchement utile. Quant à nous, on commence à être franchement calées sur la grossesse, l’accouchement et la maternité. Et chéri assure aussi, comme quoi, les séances de révision collectives ont payé !