Marre de ces mamans aux ongles manucurés ou de ces mamans qui ont réussi à perdre leur poids post-accouchement en un claquement de doigt ? Ou alors, marre de ces mamans toujours apprêtées alors que toi tu as déjà beaucoup de mal ne serait-ce qu’à aller prendre une douche ? Ou de celles qui peuvent aller boire un verre entre copines ? Eh bien tu n’es pas seule ! Rachelle Rowlings, une jeune femme originaire d’Australie, brise les codes et dévoile sur son compte Instagram que non, la vie avec des enfants ce n’est pas toujours rose !
Quand on la voit sur ses photos, la culpabilité remonte automatiquement. Rachelle Rowlings est belle, bien maquillée et porte de très belles tenues, comme toutes ces jeunes mamans qu’on suit (malgré nous) sur Instagram. Mais encore une fois, il est important de ne pas se fier aux apparences. Sur chacune de ses photos où la jeune maman pose avec son petit Roman, elle ne peut s’empêcher d’y ajouter des légendes très drôles et ô combien réalistes ! Eh oui, cette Australienne de 30 ans est comme toutes les mamans : elle change des couches sales, nettoie le vomi de son petit bonhomme et subit tout ce qui fait le quotidien d’une maman. Et ça, ça nous rassure de l’entendre ! Sur l’une de ses photos, où l’on voit le haut de son bikini, la jeune femme a raconté : “Ce que vous ne voyez pas, c’est la moitié de ma poitrine qui se repose sur le sol, mon estomac qui ressemble à de la crème brûlée à moitié consommée et le chien de 25 kilos qui se repose sur mon entrejambe (non, ce n’est pas une blague sur mon épilation du maillot)”.
Son but ? Rassurer et décomplexer toutes les jeunes mamans
Dans les nombreux commentaires de ses photos publiées sur Instagram, beaucoup de femmes remercient alors l’Australienne pour son honnêteté, sa franchise, et pour avoir brisé les tabous. Interrogée par l’édition australienne du Daily Mail, Rachelle Rowlings a expliqué pourquoi elle a commencé par créer un compte sur ce réseau social de partages de photos : « L’idée m’est venue quand j’étais enceinte et que j’avais des nausées matinales. Je me suis dit qu’il devait y avoir d’autres futures mamans dans mon cas. Mais je n’en ai pas trouvé sur les réseaux sociaux. » Tout ce qu’elle trouvait sur Instagram, c’était des comptes avec de très jolies photos retouchées, a-t-elle également expliqué. Après la naissance de son petit garçon, elle a expliqué s’être sentie plutôt misérable. Tandis que tout le monde lui disait qu’elle allait vivre les meilleurs moments de sa vie, elle a confié ne pas être sortie de chez elle les six semaines qui ont suivi son accouchement, que ses seins étaient très durs et qu’elle n’arrivait plus à dormir. Alors, se dire que nous sommes toutes dans la même situation, ça ne fait pas déculpabiliser un peu ?