
Homéopathie, acupuncture et réflexologie plantaire, découvrez trois médecines douces pour une grossesse plus tranquille. Avant de vous lancer, demandez toujours l’avis de votre médecin !
L’homéopathie
Enceinte, certains médicaments vous sont interdits. Pourquoi ne pas miser sur l’homéopathie pour soigner vos petits maux de façon non toxique ? Evitant l’accoutumance et les effets secondaires non désirés, l’homéopathie aide à lutter contre les troubles du sommeil (souvent importants durant le 3e trimestre) ainsi que les troubles digestifs et circulatoires. Ces précieuses petites granules peuvent aussi avoir un effet bénéfique sur votre humeur et il est possible de continuer certains traitements après l’accouchement. A éviter : les préparations homéopathiques à base de teintures mères qui contiennent de l’alcool.
L’acupuncture
Médecine chinoise qui consiste à planter de fines aiguilles dans le corps pour libérer l’énergie, l’acupuncture est fortement conseillée chez la femme enceinte qui souffre de divers maux. Elle est ainsi recommandée pour lutter plus facilement contre les nausées, la constipation, les jambes lourdes, le mal de dos, mais aussi pour des souffrances plus psychiques que psychologiques comme le stress, les troubles du sommeil ou encore le tabac. Preuve que l’acupuncture est à prendre avec le plus grand sérieux, certains médecins utilise cette géniale médecine douce pour aider la dilatation du col et la descente du fœtus.
La réflexologie plantaire
Il y aurait plus de 7 000 terminaisons nerveuses dans chacun de nos pieds. La réflexologie plantaire– qui consiste à atteindre et éveiller certains organes en massant des points spécifiques du pied- est donc une véritable alternative aux traitements classiques. De la constipation aux douleurs physiques (jambes, dos) en passant par le simple rhume, la réflexologie plantaire permet de libérer les tensions nerveuses et de détendre la future maman. Déjà recommandée dans certaines maternités, la réflexologie plantaire ne se pratique pas à la légère. Il faut ainsi éviter cette méthode durant les trois premiers mois de la grossesse et ne pas stimuler les organes génitaux (attention aux contractions !). Enfin, une séance ne doit pas excéder 45 minutes.