Quand tes copines mamans te parlent de l’épisiotomie, de l’expulsion du placenta, des points de suture, des couches pour adultes et du baby blues, tu refuses de te laisser intimider et tu leur dis franco : ça ne te fait pas peur ! En mode « je suis une femme forte, mais j’ai aussi un peu besoin de me rassurer« .
Mais quand tu réalises que ton accouchement arrive à grands pas… La panique te gagne et tu es plus en mode « RIP, fidèle vagin« . Il n’y a pas moyen de reporter ça de quelques semaines ?
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