Quand on arrête d’allaiter, c’est toujours un moment compliqué. On a pris l’habitude d’avoir loulou tout contre soi et de lui donner le sein, de partager un moment privilégié avec lui. Mais, quoiqu’on fasse, bébé devient grand ! Et il est temps pour nos seins de rejoindre nos sous-vêtements de dentelle fins et de mettre au placard les soutiens-gorge d’allaitement !
Des mamans nous racontent le moment où elles ont décidé de commencer le sevrage ! Alors, comment ça s’est passé ?
Un jour j’ai décidé qu’il était temps de sevrer ce petit bout de l’allaitement. Avoir de nouveau mes seins, juste pour moi, c’était le luxe total !
J’ai craqué. J’ai décidé de remettre le jour du sevrage à plus tard, mais c’est tombé juste au moment où bébé a commencé à faire ses dents. Pas une bonne idée…
Mes seins ont décidé pour moi. En une semaine, le lait s’est tarit très rapidement !
Avec la pression des conseils de maman et de belle-maman pour que je continue, dire ‘Stop’ à l’allaitement, n’a pas été facile. Mais c’est mon bébé, ma poitrine, et mes heures de sommeil nocturnes qui sont en jeu, pas les leurs.
C’est banal, mais la reprise du travail m’a obligée à commencer le sevrage ! J’ai bien tenté de continuer le soir avant qu’il s’endorme, mais ce petit glouton préférait la rapidité des biberons.
Ce qui m’a le plus motivé à arrêter d’allaiter ? Les réveils en pleine nuit pour donner le sein. Mais ça y est, c’est bon, avec les biberons, Chéri n’a plus d’excuses pour ne pas se lever la nuit !
Ce fut long et plein d’embûches, mon bébé est un malin. Quand je tentais de lui offrir un biberon de lait, il me regardait en souriant et faisant « non », non maman, ce n’est pas ça que je veux… Loupé !
Un trop-plein de lait, des hormones en pagaille et un bébé qui réclame… Le sevrage n’a pas été facile, mais, (Oh oui ! ) J’ai tenu bon !
Les naissances insolites, les nouveautés scientifiques, je suis là pour vous tenir au jus des dernières news de la semaine ! Mais derrière cette recherche effrénée, je me découvre sentimentale. Et oui ! Je suis de celles qui versent une larme au moindre sourire de bébé, ou qui s'émerveillent devant les bidons ronds.