Mia Redworth, maman du petit Austin âgé d’un an, a décidé de dire la vérité sur le corps d’une femme après l’accouchement. Comme beaucoup de femmes, la jeune maman a subi une certaine baisse de moral en voyant son nouveau corps dans le miroir, comparé à celui qu’elle avait avant sa grossesse. Mais pour son fils, Mia ne s’est pas laissé abattre et a décidé de prendre le taureau par les cornes. Pourquoi avoir honte de son corps post-partum, quand l’accouchement représente une si grande joie et une telle bénédiction ? Mia a donc fait le choix d’assumer ce nouveau corps et de l’afficher tel qu’il est, en révélant les méthodes trompe-l’œil sur les photos des réseaux sociaux.
#NoFilter
https://www.instagram.com/p/BRV6bewj42i/?taken-by=miaredworth
Dans ses posts, Mia raconte son aventure pour regagner confiance en elle, tout en tentant de redonner confiance à toutes celles qui en auraient besoin. Ses messages parlent d’amour propre et de l’importance de s’accepter comme on est, en étant consciente que ce que l’on peut voir sur les réseaux sociaux ne reflète pas la réalité, dans la grande majorité des cas. « Personne n’est parfait, j’ai des vergetures car j’ai porté mon bébé pendant 42 semaines, un petit bidon à cause d’une césarienne réalisée en urgence, de l’eczéma à cause du stress et je passe le plus clair de mon temps à être comme sur la photo de gauche ! (…) » Pour cette maman « C’est totalement normal de ressembler à ça. Arrêtez de penser que tout le monde sur Instagram est comme sur leurs photos 24/24H, parce que dans 98% du temps, ils ont pris 100 photos et choisi la meilleure à poster. »
Apprendre à aimer son corps
https://www.instagram.com/p/BOo4yYOA59O/?taken-by=miaredworth
Souvent, Mia Redworth poste des photos comparatives d’elle-même. Elle oppose généralement une version « normale » à une version « posée » pour Instagram, ou bien elle montre tout simplement l’évolution de son corps depuis qu’elle a commencé à faire du sport. Ainsi, Mia souhaite montrer qu’il ne s’agit pas de faire du sport pour retrouver le corps qu’on avait avant d’être enceinte, mais plutôt de s’approprier ce corps qui nous est inconnu juste après l’accouchement.