Vous vous rappelez de la photo de Chontel Duncan, vedette de fitness en Australie et de son amie Nat, postée sur Instagram ? Toutes les deux enceintes avec seulement quelques semaines d’écart, elles avaient posé ensemble avec leur bidou. Mais en publiant cette photo sur les réseaux sociaux, Chontel ne se doutait pas des commentaires injurieux qu’elle s’apprêtait à recevoir…
Le « body shaming », une pratique répandue sur les réseaux sociaux
En décembre dernier, la fameuse photo publiée sur Instagram commence à faire parler d’elle. Malgré la bonne volonté de Chontel de vouloir prouver que deux grossesses peuvent être menées à terme sans pour autant se ressembler, elle a été très blessée par les messages virulents laissés à son encontre. « Je savais que ce que je faisais était correct, bon et bénéfique pour moi et mon bébé » a-t-elle déclaré au magazine Elle. « Quand je vois les commentaires négatifs reçus, je me suis sentie mal pour ceux qui les avaient postés ». Elle a donc tenu à réagir à sa manière en publiant quelques semaines après la naissance de son fils, des photos montrant qu’il se portait comme un charme. Né le 26 mars dernier, il il pesait à la naissance 3,5 kg.
Malheureusement, ces commentaires haineux restent répandus et ils ont même un nom, le « body shaming ». Des commentaires négatifs qui ont d’ailleurs continué d’être postés. Puisque si certains étaient choqués par le corps de la jeune femme, d’autres ont été très étonnés par la manière dont elle tenait son enfant dans les bras. Le téléphone portable dans une main, le bébé dans l’autre sans lui retenir la tête… Ce qui lui a valu des retours de ce type : « Oh mon Dieu le pauvre cou de ce bébé. Tiens ton bébé correctement, il est plus important qu’un selfie ». Du coup, le retour ne s’est pas fait attendre et la reine du fitness a posté un nouveau cliché, tenant la tête de son tout-petit…
La jeune maman a par ailleurs annoncé sur son compte instagram qui compte plus d’un demi-million de followers que ceux qui ne souhaitaient pas voir les photos n’avaient qu’à pas la suivre sur les réseaux et se désabonner…