Ca y est la coupe du monde a commencé et avec elle les soirées animées devant l’écran de télévision. L’occasion de se retrouver en famille ou entre amis autour d’un verre. Mais attention, enceinte on le rappelle : c’est zéro alcool !
Une campagne vidéo pour sensibiliser les femmes enceintes
A l’occasion de la Coupe du Monde de football, l’association « Avec Modération » lance une nouvelle campagne de prévention contre les risques d’alcoolisation fœtale. L’association qui a pour but d’informer et prévenir les comportements à risque a décidé d’utiliser des supports vidéos pour faire passer son message. A l’aide de quatre spots vidéo de 45 secondes, l’association rappelle que pendant la grossesse, tout alcool est interdit, en raison des risques importants que peut faire courir ce toxique au fœtus. Retard de croissance, malformations, anomalies faciales… Les conséquences peuvent être dramatiques. Les spots permettent de répondre rapidement aux questions les plus fréquentes que les futures mamans ou les mamans se posent à savoir : « Peut-on consommer des boissons alcoolisées pendant qu’on allaite ? », « Que faire si l’on ne parvient pas à arrêter sa consommation de boissons alcoolisées pendant sa grossesse ? », « À quel moment arrêter de consommer des boissons alcoolisées lorsqu’on souhaite avoir un enfant ? » , « Que faire si l’on a consommé des boissons alcoolisées en début de grossesse ? ».
Enceinte pendant la Coupe du Monde je bois quoi ?
Profitez des beaux jours qui reviennent pour tenter des cocktails de fruits. Cette boisson fait coup double puisqu’en utilisant des fruits frais vous vous désaltérez tout en faisant le plein de vitamines. Tout aussi bon les smoothies sont également idéaux l’été. Si vous souhaitez une touche d’exotisme, vous pouvez tenter les délicieux lassi indiens qui sont des boissons à base de yaourt et de fruits et qui peuvent se consommer glacés. Dans tous les cas, si vous souhaitez avoir des conseils ou si vous avez des problèmes pour vous passer de boissons alcoolisées, n’hésitez pas à en parler à votre sage-femme ou votre gynécologue.
