Le site web du journal britannique le Daily Mail nous raconte l’histoire d’un couple de parents qui n’a jamais perdu espoir. Il s’agit de Sarah et Mark Brennan, 36 et 35 ans. Ils vivent dans le sud du Pays de Galles, et sont les heureux parents de Eryn, née le 30 septembre 2014 à 33 semaines et pesant 1,67 kg. Mais l’histoire est loin d’être toute rose, au contraire.
10 ans d’attente et 10 fausses couches
Voilà 10 ans que le jeune couple essaie d’avoir un enfant. 10 ans … et 10 fausses couches. Aucune de ces 10 grossesses n’a dépassé la fin du premier trimestre. Alors que les médecins leur annoncent qu’avoir un enfant de façon naturelle sera quasi-impossible et que Sarah s’inscrit sur liste d’attente pour une FIV, la jeune femme apprend une nouvelle fois qu’elle est enceinte.
Des futurs parents inquiets
« C’était merveilleux de savoir que Sarah était enceinte mais, vu notre passé, nous étions inquiets », confie Mark, le futur papa. Après un voyage en Égypte, direction l’hôpital car Sarah souffre de contractions et elle s’inquiète de faire une nouvelle fausse couche. Finalement, le personnel médical la renvoie chez elle, la grossesse suit son cours normalement et la 20ème semaine, les futurs parents apprennent qu’ils attendent une petite fille.
Une fin de grossesse difficile
Sarah Brennan perd les eaux pendant sa 29eme semaine de grossesse. Elle souffre du syndrome de Braxton Hicks, des fausses contractions très douloureuses. Les médecins ne sont pas confiants, mais à l’échographie, ils entendent un battement de cœur. La petite fille s’accroche et va bien. La nouvelle est tellement forte que tout le monde craque : parents, personnel médical et même l’échographe ! Après deux semaines passées à l’hôpital à attendre que le travail commence, Sarah et son mari rentrent chez eux.
La petite Eryn choisit de pointer le bout de son nez pendant la 33ème semaine de grossesse, par césarienne en urgence, elle se présentait par le siège. Et même une fois née, le calvaire ne s’est pas arrêté tout de suite : à cause de problèmes respiratoires, Sarah n’a pu voir sa fille que 5 heures plus tard et lui faire son premier câlin le lendemain matin.
Des parents qui n’ont jamais perdu espoir
« Nous étions si heureux, si je devais conseiller quelqu’un qui vit la même chose, je lui dirais à quel point il est important de ne pas perdre espoir », conclue Sarah Brennan en souriant.