La tenniswoman, Serena Williams a donné naissance à sa fille Olympia le 1er septembre 2017. Si l’accouchement en lui-même s’est bien passé, elle a signé une tribune dans le magazine CNN il y a quelques jours où elle raconte les complications auxquelles elle a dû faire face ensuite.
« Je suis heureuse d’avoir survécu »
Serena Williams et son époux, Alexis Ohanian on vu leur famille s’agrandir il y a quelques mois avec l’arrivée de la petite Olympia. L’athlète aux 39 titres du Grand Chelem s’est confié sur la semaine qui a suivi son accouchement. Elle raconte « Alors que j’ai eu une grossesse assez facile, ma fille est née par une césarienne d’urgence après que sa fréquence cardiaque ait chuté de façon spectaculaire pendant les contractions. La chirurgie s’est bien déroulée. Avant que je le sache, Olympia était dans mes bras. C’était le sentiment le plus incroyable que j’ai jamais éprouvé dans ma vie. Mais 24 heures après l’accouchement ont suivi six jours d’incertitude ». La jeune maman de 36 ans explique qu’elle a été victime d’une embolie pulmonaire. Comme ce n’était pas la première fois qu’elle était confronté à ce problème « En raison de mes antécédents médicaux avec ce problème, je vis dans la peur. Alors, quand j’ai commencé à être essoufflé, je n’ai pas attendu une seconde pour alerter les infirmières. Cela a déclenché une série de complications de santé auxquelles j’ai la chance d’avoir survécu« . Serna Williams a dû être opéré pour empêcher les caillots qui s’étaient formés de voyager dans ses poumons. De retour chez elle, elle a dû passer six semaines alitées ne pouvant pas s’occuper totalement de sa petite fille.
Serena remercie toute l’équipe médicale qui s’est occupé d’elle
La jeune femme conclut sa tribune « Je suis tellement reconnaissante d’avoir eu accès à une équipe médicale aussi incroyable composée de médecins et d’infirmières dans un hôpital doté d’équipements à la fine pointe de la technologie. Ils savaient exactement comment gérer ce tournant compliqué des événements. Si je n’avais pas eu accès à leurs soins professionnels, je ne serais pas ici aujourd’hui« .