Après la Suisse et le Lichtenstein qui ont ouvert le ban fin août, la dernière-née de Nestlé, innovation haute technologie baptisée Babynes, arrive en France dans quelques jours.
Chez Nestlé, on n’en disconvient pas : le lait maternel est le meilleur aliment pour les bébés, pendant au moins six mois, selon les recommandations de l’Organisation Mondiale de la Santé.
Mais voilà, parfois, pour des raisons qui leur appartiennent, les jeunes mamans ne souhaitent pas allaiter ou du moins pas aussi longtemps que l’OMS le conseille. La préparation des biberons peut vite s’avérer contraignante quand on est une jeune maman active donc surbookée. Et un peu plan-plan si on est fan de high tech !
Dans ces deux cas, la première machine à capsules de lait infantile, BabyNes, devrait séduire ces mamans ! Et si bébé a des besoins spécifiques ? Tout est prévu : les services nutrition santé infantile de Nestlé ont mis au point six variétés de lait, correspondant aux différents stades de développement et besoin bébé.
LA BABYNES : les atouts
Un bib’ prêt en 1 min, sans poudre renversée, juste à la bonne température, préparée même avec de l’eau du robinet si on n’a rien d’autre sous la main car la capsule contient un filtre spécial pour éliminer les impuretés, une hygiène parfaite car la poudre n’est jamais en contact avec l’extérieur et la possibilité de continuer à donner le même lait à bébé lorsqu’on est en déplacement – ou en cas de coupure de courant – car avec la BabyNes est fourni un ouvre-capsule qui permet de verser la poudre directement dans le biberon et de le préparer de manière traditionnelle.
LA BABYNES : les points faibles
La technologie a son prix ! La machine coûte environ 200€ et la boîte de 26 capsules 39€. Ce qui représente un prix de revient de 1,50€ par biberon. Oui, la formule est plus coûteuse que la boîte de lait infantile traditionnelle. Mais quand on a craqué sur la Nespresso adulte, difficile de résister à la séduction de cette version pour bébés.
A vous de choisir.
Si en plus Nestlé demande à Georges Clooney de rempiler pour la pub, nous on signe.