J’ai vécu ma première grossesse comme une chance infinie de pouvoir connaître cette sensation indicible de porter la vie en soi. Pourtant, tant d’autres femmes la connaisse aussi. Mais je me suis toujours considérée comme ayant beaucoup de chance de faire partie de cette majorité. Ma grossesse a tellement été belle, entre les attentions de mon mari qui devenait soudainement très protecteur à mon égard, les regards sur mon joli ventre qui s’affirmait de jour en jour, les sensations inimaginables d’un être vivant qui bouge en soi, que l’on ne connaît pas mais qu’on aime déjà si fort, tout a été exceptionnel.
A tel point que 10 mois après la naissance de mon amour prénommé Lucas, j’ai été prête et envieuse d’une seconde grossesse. Cette grossesse tant attendue et espérée a mis très longtemps à s’inviter dans notre famille. Aujourd’hui, je vis encore ce rêve éveillé avec non seulement les mains de mon mari qui communiquent déjà avec sa petite puce, mais également, les petites mains de Lucas qui a hâte d’être grand frère pour notre plus grand bonheur.
La grossesse est pour moi une période d’extrême bonheur, malgré les désagréments qui l’accompagnent certes, de féminité absolue. Je passe du temps à discuter avec ma petite puce que j’aime déjà, à caresser mon ventre, à le câliner car il contient un trésor de la vie, un tout petit être moitié-moi moitié-l’amour-de-ma-vie, c’est simplement fantastique.
Le paroxysme de la féminité
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