Moi, je n’ai pas de problème. Je suis juste HEUREUSE.
FORMIDABLEMENT HEUREUSE.
J’ai eu une première grossesse, épanouie : 25kg de pains au chocolat, de fraises, de thé et de petits gâteaux, de douceurs de Noël et de frites (J’adore).
J’ai eu un accouchement super; perte des eaux et 6 heures après, Arthur était né. C’est moi qui l’ai sorti de moi et il est né avec les yeux grands ouverts ! MAGIQUE.
Ma deuxième grossesse a démarré un peu plus difficilement. J’ai eu un décollement du placenta qui s’est soldée pas un arrêt de travail d’un mois et après : FIESTA ! J’ai accouché en août et c’est génial de ne pas couvrir trop Bébé dans ses premiers jours de vie. En 5 heures Paul était là et il tétait gentiment.
Cette troisième grossesse était dans un sens pour avoir une petite fille; car je rêvais de deux garçons en premier : c’est pour ça que j’étais si ravie !
Me voilà avec un troisième p’tit zizi dans le bidon. Sur le coup je l’avoue, on a été un peu déçu, mais le temps de le dire car ce petit bout était en pleine peau et surtout, il commençait à bouger et à faire savoir qu’il existait bien.
Donc, notre bonhomme est attendu avec grande impatience par ses deux grands frères, qui sont supers contents, son papa et surtout par sa maman, car moi, j’ai envie de pouponner encore…
Quelle merveille de la nature de pouvoir donner la vie. Je ne dis pas ça pour philosopher ou quoi que ce soit, mais parce que je suis entourée au boulot de deux collègues qui ne peuvent pas avoir d’enfants malgré tous les traitements et par ma sœur, dont le mari est stérile suite à une chimio.
Je palpe mon bonheur, le reconnaît, je le sais même envier. C’est pourquoi avec mon homme, on en profite à 100 % et que nos petits hommes, on les aime plus que tout au monde. Mes rayons de soleil quand ils se lèvent et mes petites étoiles quand ils s’endorment…
Je veux vous crier mon BONHEUR et ma joie de donner la vie !
Mon conseil : profitez de vos enfants, petits ou grands, ne laissez aucun moment de côté, tout est bonheur. Par contre, je ne le cache pas : j’ai deux fils très remuants, dynamiques et tout, mais quand je les regarde faire du vélo, quand je les entends s’esclaffer de rire, quand je les regarde s’endormir paisiblement et quand ils me disent : « Maman, je t’aime d’amour très très fort… », alors là… poufff !!!
