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Neuf Mois pour les sages-femmes 9Love - L'Eshop GrossesseLes meilleures mutuelles grossesse

Devenir maman : une aventure ponctuée de mésaventures pour Christelle

Bonjour chère communauté Neuf mois, je m’appelle Christelle, et je suis la maman d’un petit garçon de 15 mois. Avant de vous raconter mon histoire je dois revenir sur ma vie avant la naissance de mon enfant. Notre fils est un bébé que nous avons désiré dès le début de notre histoire. Après un début de parcours en PMA qui n’a rien donné (4 tentatives, 4 échecs), nous avions décidé de nous concentrer sur l’organisation de notre mariage qui approchait à grands pas, et de reprendre la PMA à la rentrée. Et un mois après cette décision, Bingo un joli « + » s’affichait sur le test de grossesse.

Enceinte pour mon mariage

Nous nous sommes mariés alors que j’étais enceinte de presque 3 mois. Notre petit bébé se cachait bien puisque personne n’avait deviné que j’étais enceinte le jour de mon mariage. Nous avons fait l’annonce, le lendemain, en petit comité, à notre famille proche et nos amis. Une annonce que nous avions hâte de faire, dévoiler notre petit secret qui ne faisait que quelques centimètres ! Une annonce à laquelle personne ne s’attendait, et qui a fait pleurer de joie tout le monde. Nous étions dans l’euphorie de ces nouvelles vies qui s’offraient à nous… Notre vie de couple marié, et bientôt notre vie de parents. Du bonheur et encore du bonheur en perspective. Ma grossesse s’est bien passée, malgré tous les questionnements et craintes que nous avions, étant donné que je vis avec plusieurs maladies chroniques. J’ai été suivie très régulièrement par une gynécologue durant toute ma grossesse, pour pouvoir réagir rapidement si jamais mon état de santé ou celui de mon bébé se dégradait.

La naissance de bébé

Après 14 heures de travail, mon petit garçon a pointé le bout de son nez avec 3 belles semaines d’avance, et en pleine forme. Nous débordions d’amour pour lui, un amour inconditionnel qui nous a submergés, qui nous a fait pleuré, et qui nous a fait prendre conscience que nous avions dorénavant une grosse responsabilité, celle d’élever ce tout petit être, notre bébé, notre fils, et de faire en sorte qu’il grandisse heureux. En l’espace de quelques secondes, nous devenions parents. Nous étions propulsés dans ce monde inconnu. Avec tous les principes de futurs parents en tête : pas de sucette pour notre bébé, des petits plats faits par nos soins, notre bébé ne fera pas de colère en plein milieu d’un magasin… Mais pour tout ça, nous sommes vite revenus sur terre, et les principes, nous les avons petit à petit mis au placard.

Les premiers jours à la maternité

Jamais nous n’aurions imaginé que les 12 premiers mois d’un bébé pouvaient être aussi durs, riches en émotions et en amour, mais très pesants physiquement et psychologiquement. Même si nous étions prêts à devenir parents, nous ne savions pas et nous n’aurions pas pu deviner tout ce qui allait suivre… Le lendemain de sa naissance, nous avons été emmenés en néonatalogie, pour que mon fils ait son traitement antibiotique suite à une infection materno-fœtale. Nous y avons passé une semaine lui et moi. Une semaine pendant laquelle j’ai pu mieux appréhender mon rôle de maman, même si j’avais hâte de rentrer à la maison. J’ai eu cette chance de pouvoir garder mon bébé avec moi dans la chambre, même si j’avais la possibilité de le laisser à la pouponnière la nuit. La sucette nous a été fortement conseillée par l’équipe de néonatalogie, pour qu’elle puisse y déposer quelques gouttes de glucose pour l’apaiser le temps des différentes prises de sang programmées, ou pour son traitement. Premier principe : à la poubelle.

Le retour à la maison avec bébé

Quand nous sommes rentrés à la maison, nous nous sommes retrouvés tous les trois, comme si le temps était suspendu. Deux sourires béats d’admiration à regarder notre mini-nous dormir ou prendre ses biberons. Le premier mois a été ponctué par une petite hospitalisation pour bébé, à la demande de mon médecin généraliste, car il faisait des « pauses respiratoires ». Ma généraliste avait été assez inquiétante, en m’expliquant que cela pouvait favoriser la mort subite du nourrisson. La boule au ventre, mon tout-petit a été donc hospitalisé, et j’ai pu rester avec lui à chaque instant. Au final, au bout de quelques jours, on nous a annoncés qu’il s’agissait juste d’un petit reflux gastro-œsophagien (RGO) interne. Quel soulagement ! Mais le niveau de stress que nous avions atteint au cours de cette hospitalisation a été impressionnant. Nous avions si peur pour notre tout-petit. J’ai rapidement décidé de faire suivre mon fils par un pédiatre, qui, par définition, était le spécialiste des bébés et des enfants. Quand je lui ai raconté l’histoire de mon fils, il m’a tout de suite rassuré, en me disant que tous les bébés faisaient des pauses respiratoires, et qu’il fallait s’inquiéter uniquement si ces pauses duraient plus longtemps. Il m’a rassuré en me disant que mon fils était parfait et en pleine forme. Il a senti à quel point cette hospitalisation m’avait déstabilisé, et a proposé de revoir mon bébé dès la semaine suivante pour refaire le point. Et bien entendu, je pouvais l’appeler si j’avais la moindre inquiétude. Cela nous a fait énormément de bien à mon mari et moi de savoir qu’on avait ce soutien si précieux.

La période difficile des coliques de bébé

Bébé a grandi, et nous avons ensuite vécu les coliques du nourrisson, de 1 à 3 mois. Une période dont nous gardons un mauvais souvenir, car entendre son bébé pleurer toutes les fins d’après-midi jusqu’au milieu de la nuit, n’était pas une mince affaire. Ce sentiment d’impuissance pour le soulager et toutes les questions qui nous traversent la tête : est-ce que nous sommes à la hauteur ? Sommes-nous de bons ou de mauvais parents ? Nous nous retrouvions dans l’incapacité de soulager notre propre enfant. Nous avons tout essayé : la bouillotte qui l’apaisait quelques minutes, le bercer en l’installant sur le ventre sur notre avant-bras, les balades en poussette et en voiture, l’ostéopathe qui ne le soulageait pas au-delà d’un ou deux jours, la danse anti-coliques trouvée sur Youtube (j’en rigole encore, mais ça ne marchait pas). J’ai fini par emmener mon fils chez un magnétiseur. On y croit ou on n’y croit pas, peu importe ! Mais je n’avais plus rien à perdre, tant nous étions fatigués et tant nous nous sentions impuissants. La séance s’est bien passée. Les symptômes des coliques se sont aggravés pendant les 3 jours qui ont suivi, puis plus rien. Deux jours après, notre fils faisait même ses nuits. Un soulagement après toutes ces nuits passées à le bercer. Deuxième principe de ne pas faire dormir son enfant dans le lit parental : à la poubelle ! Les coliques finies, nous pensions enfin avoir un peu de répit.

Les mésaventures entre parents  et assistante maternelle

J’ai repris le travail quand mon fils a eu 3 mois. Nous le mettions chez une assistante maternelle. Nous avions eu un bon feeling avec elle. Elle débutait, suite à une reconversion professionnelle, et elle avait de l’expérience avec ses deux enfants (dont une n’était pas encore scolarisée). Notre fils était le premier bébé qu’elle gardait (autre que ses propres enfants). Nous récupérions notre fils le soir, et ensuite on enchaînait sur une soirée de pleurs, de cris tous les soirs. Régulièrement en journée, je recevais des textos de cette nounou, me demandant ce qu’elle devait faire car mon fils ne voulait pas de son biberon, ou bien il ne voulait pas manger son petit pot alors que je travaillais. J’étais sans arrêt en train de jongler entre les textos de la nounou et mon travail. C’était fatigant, mais je me disais au début qu’elle était nouvelle dans le métier, je voulais donc être indulgente et aidante et surtout que ça aille bien pour mon fils. Et puis petit à petit, nous avons eu des remarques sur le cahier de liaison, et le soir aussi quand on le récupérait, comme quoi notre fils pleurait beaucoup, qu’il faisait des caprices. Ces remarques ont commencé alors qu’il n’avait que 4-5 mois, et ont duré jusqu’à ses 10 mois. Je lui ai fait remarquer qu’à cet âge-là, les caprices n’existaient pas, mais elle restait sur ses positions. Cela devenait tendu, nous avons même fini par la croire quand elle nous disait que notre fils était un pleureur et qu’il devait avoir un problème. Tous les mois quand j’emmenais mon fils chez le pédiatre, le pédiatre me rassurait en me disant qu’un bébé qui ne pleurait jamais était le signe qu’il y avait un souci, mais qu’un bébé qui pleurait était un bébé en pleine forme, et l’auscultation le confirmait. De plus, les poussées dentaires ont commencé dès l’âge de 4 mois, et duraient des semaines entières.

Quelques « soucis » supplémentaires avec la nounou m’ont incité à contacter le RAM (Relais d’Assistantes Maternelles). Je leur ai fait part de tout ce qui nous inquiétait, et on m’a juste répondu que l’assistante maternelle faisait tout bien. Bon… Je suis restée avec toutes mes inquiétudes et mes doutes, et nous avions ce sentiment en tant que parents d’être seuls. Quand nous en parlions autour de nous, on nous posait systématiquement la même question « est-ce que vous trouvez que votre fils a changé de comportement ? ». Et inlassablement, nous expliquions que nous n’en savions rien, puisqu’il a été gardé par cette nounou dès ses 3 mois. C’est donc difficile de savoir si les changements étaient dus, à la nounou ou juste au fait qu’il grandissait. J’ai pesté contre cette question … Nous étions vraiment seuls.

A la recherche d’une nouvelle nounou pour bébé

Nous en avons rencontré trois autres. La dernière a été la bonne. L’accueil, le premier regard, les paroles, nous ont tout de suite mis en confiance. Notre fils, qui avait 10 mois à ce moment-là, lui souriait spontanément et allait vers elle à 4 pattes. Nous ne voulions pas prendre de décision hâtive. Deux jours après, nous la recontactions pour lui dire que nous souhaitions qu’elle s’occupe de notre fils. Nous avons posé le préavis auprès de l’autre assistante maternelle. Elle a été surprise et ne s’est pas remise en question une seule fois. Après l’annonce, nous avions deux semaines de préavis à « tenir » avec elle. Lors de la première semaine de préavis, elle n’écrivait plus rien dans le cahier de liaison, prétextant qu’il n’y avait plus de place. En effet, c’était la dernière page du cahier…. Il a fallu que je rajoute quelques pages blanches et que je lui rappelle que nous étions son employeur, et que si elle avait accepté de faire son préavis, cela ne devait en rien changer le fonctionnement que nous avions mis en place jusqu’à présent. Mon fils est resté avec elle pour la première semaine de préavis et le vendredi soir, nous avons récupéré notre petit hurlant encore plus que d’habitude. À la maison, nous avons avancé l’horaire du repas du soir, et il a dévoré son petit pot et en réclamait davantage. Avait-il mangé son goûter ? Nous ne l’avons pas su, nous ne le saurons jamais … mais ce soir-là, je me suis dit stop. J’ai appelé belle-maman pour qu’elle vienne garder son petit-fils la semaine suivante avant que l’autre assistante maternelle prenne la suite. La semaine suivante, j’ai contacté, sur conseil d’une amie, la PMI. Quand je leur ai raconté tout ce qui s’était passé ces derniers mois, la personne de la PMI m’a demandé le nom de l’assistante maternelle car beaucoup de choses n’étaient pas normales concernant la sécurité, elle n’était pas au point. Lorsque j’ai transmis ces informations, on m’a dit qu’elle serait contrôlée rapidement. Puis cette personne m’a dit que j’aurais dû les avertir plus tôt. Je leur ai fait part de ma crainte que cela enclenche un contrôle alors qu’elle avait mon fils en garde et donc qu’elle puisse se « venger » sur lui. Le mot est peut-être fort … mais je ne voulais pas prendre le moindre risque. J’ai rédigé une lettre recommandée pour la PMI, avec des photocopies du fameux cahier de liaison, pour officialiser le signalement. Nous avons reçu ensuite une lettre de la PMI nous informant qu’elle avait été contrôlée et que cela resterait définitivement dans son dossier. Je suis rassurée mais pas entièrement satisfaite, j’espère qu’aucun parent n’aura à lui confier son enfant.

La nouvelle assistante maternelle de notre fils

Alors âgé d’un peu plus de 10 mois, mon fils a donc changé d’assistante maternelle. Et là, il s’est passé quelque chose de juste incroyable. Nous récupérions le soir, un petit bonhomme souriant, qui rigolait beaucoup, qui nous faisait des câlins. L’assistante maternelle nous expliquait qu’il avait un peu peur de se retrouver seul sans adulte à ses côtés, même l’espace de quelques minutes, mais qu’au fil des jours elle trouvait qu’il s’acclimatait merveilleusement bien. Et nous, nous redécouvrions le bonheur d’avoir un petit garçon bien dans ses baskets, heureux et qui pleurait bien moins qu’avant. Et pourtant, dès les premiers jours de garde, il a attrapé le syndrome pieds-mains-bouche, donc assez douloureux et gênant. Et une poussée dentaire encore une fois. On commençait donc dans des conditions peu optimales pour lui, mais peu importe, tout se passait bien chez cette nouvelle nounou. J’avais peur, pendant la période d’essai, qu’elle décide d’arrêter le contrat car en tête, je n’avais encore que les mots de la première nounou. Mais tout se passait bien, et petit à petit, mes appréhensions sur ce potentiel arrêt de contrat se sont estompées. Dès le premier jour où j’ai déposé mon fils chez elle, j’ai été sereine. Je savais qu’il était avec quelqu’un d’expérimenter, et en qui j’avais déjà confiance.

À cette nouvelle nounou, nous avons fait le choix de ne rien raconter de l’histoire précédente, hormis de lui dire que nous avions retiré notre fils de la précédente nourrice car à l’entendre, notre fils était trop capricieux et pleureur. Ce sont les seules choses que nous lui avons dites.  À la maison, les moments du coucher se passaient de mieux en mieux. Nous qui le prenions régulièrement avec nous la nuit lorsqu’il se réveillait ou quand il ne voulait pas dormir dans son lit, petit à petit nous avons pu arrêter cela. On le sentait désormais apaisé et en confiance. Notre nouvelle nounou, on y tient, je ne suis pas certaine qu’elle sache à quel point nous sommes reconnaissants envers elle. Elle nous a apporté beaucoup de conseils, d’aide, et il y a un vrai lien entre la maison et chez elle. C’est toujours un enfant « 200 000 volts » comme j’aime à dire, mais aujourd’hui, on le voit, il se sent bien, et ça change beaucoup de choses.

Ma dépression post-partum

Avec mon mari, nous avons fait face tous les deux pendant cette période compliquée, sans l’aide de nos proches. Notre famille habitant à une heure de route de chez nous, nous ne l’avons presque pas sollicité, de peur de passer pour des parents incompétents. Autour de nous, nous n’avions que peu d’amis et nous ne voulions pas les déranger. Au boulot, je me donnais un maximum. Et pour mon fils, je voulais tout ce qu’il y a de meilleur.

Et puis, quand finalement tout s’est arrangé pour mon fils, eh bien moi, j’ai craqué. Dépression post-partum… On croit que ça n’arrive qu’aux autres, eh bien non, ça m’est arrivé également. Ce fut la descente en enfer, je ne supportais plus le moindre bruit de mon fils. Je ne voulais que me réfugier dans le sommeil. Tout devenait un effort insurmontable. J’ai eu peur, je me suis fait peur et j’ai fait peur à tout le monde. J’ai tiré le signal d’alarme à temps. J’ai demandé à être hospitalisée pour souffler, instaurer un traitement, et prendre du temps pour moi, afin de me recentrer, et de parler aussi de tous les fantômes de mon passé . Pendant trois jours, je voyais mon fils et mon mari qu’une petite heure. C’était très éprouvant, mais j’en avais intimement besoin. Cela a été une bouffée d’oxygène après tout ce que nous venions de vivre. Pour reprendre l’expression de ma psy, j’ai vécu dans un ascenseur émotionnel depuis l’annonce de ma grossesse jusqu’à ce moment. Le style d’ascenseur à sensation de Disney, qui peut monter aussi vite qu’il peut redescendre. Je suis en arrêt de travail. J’ai accepté de me soigner, ce qui implique traitements et suivi psychologique. C’est aussi de cette manière que j’ai pu me rendre compte que je faisais également un burn-out. Je suis heureuse d’avoir eu la force de tirer le signal d’alarme à temps. Un jour, je raconterai tout cela à mon fils, car mon histoire, cette histoire, est également la sienne, et cacher ses fantômes dans le placard, non merci ! Je sais que la route sera encore longue pour me remettre complètement, mais je veux y croire pour mon petit bonhomme et pour mon homme ! Être parent n’est pas de tout repos, mais quand, en plus on croise des personnes qui ne sont pas prêtes à vous apporter l’aide nécessaire, c’est encore plus compliqué.

Mes conseils aux futurs parents

Si vous avez le moindre doute sur la manière dont on s’occupe de votre enfant, n’hésitez pas à en discuter avec la nounou/crèche, et à changer de mode de garde si nécessaire. Écoutez votre instinct, c’est lui le plus fort. Et c’est vous qui savez ce qui est le mieux pour votre enfant. N’hésitez pas à demander de l’aide à vos proches (familles, amis, ou médecins) si vous vous sentez dépassés ou tout simplement fatigués. Papy, mamie peuvent venir dormir à la maison pour vous relayer le temps d’une nuit. Cela ne fait pas de vous de mauvais parents. Ce n’est pas parce que vous avez tant désiré et voulu votre enfant, et que vous avez parfois bataillé pour l’avoir, que vous n’avez pas le droit de vous plaindre quand ça ne va pas. Cela, je l’ai appris tout récemment, ne culpabilisons pas. Vous n’êtes pas les seuls à y être confrontés, j’ai cru être seule à vivre cela et finalement lorsque j’ai commencé en parler autour de moi (copines, jeunes mamans etc…), les langues ont commencé à se délier. Ça fait tellement de bien de savoir qu’on n’est pas les seuls. Pour terminer ce témoignage, grâce aux gens qui m’entourent, j’ai compris que, malgré tout cela, je ne suis pas une mauvaise mère. Je suis, moi aussi, une maman qui déchire ! Même si je me suis assise sur bien des principes que j’avais avant, mais comme je dis : ça, c’était avant.

Je remercie mon incroyable mari

Et je voudrais remercier tout particulièrement, celui qui partage ma vie depuis bientôt 4 ans, celui qui a assuré comme un dingue pendant que moi j’étais au plus mal, celui qui a fait face, alors qu’il a certainement douté lui aussi à bien des moments. Je voudrais remercier ce super papa, ce super mari ! Merci.

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