Nombreux sont les parents de deux enfants à s’interroger, hésiter et finalement se dire qu’un petit troisième serait le bienvenu pour agrandir la tribu. Et si vous faisiez de même ? Neuf mois vous présente 8 bonnes raisons de reprendre le chemin des couches, des biberons et des comptines.

Moins de stress

On apprend à profiter de ce petit troisième plus sereinement. Parce qu’on sait déjà tout (ou presque) des bébés, les pleurs du soir et les poussées dentaires ne vous font plus peur. Avec l’expérience, on sait aussi combien le temps passe vite. On apprend donc à s’attendrir plus longtemps devant un sourire, un balbutiement ou une petite main dodue.

Déjà organisé

Maman de deux petits bambins, vous êtes désormais devenue une pro de l’organisation et de la débrouille. Repas, ménage, rangement, courses… Tout est presque planifié à l’avance. Vous voilà au top de vos compétences parentales pour accueillir un petit nouveau.

L’aîné n’est plus un bébé

A l’arrivée du troisième enfant, votre aîné n’est généralement plus un bébé. Agé d’au moins 3 ou 4 ans, le grand de la famille est souvent fier de s’occuper du petit dernier avec vous. Son aide est d’ailleurs précieuse lorsque bébé réclame votre attention. IL est souvent présent pour vous apporter une tétine ou un jouet. Si vous lui proposez, votre aîné sera certainement ravi de participer au pouponnage du plus jeune.  

Des congés maternité rallongés

Normalement composée de 16 semaines, la durée légale du congé maternité est rallongée de 10 semaines si vous vous décidez à faire un troisième enfant. Une nouvelle qui ravira toutes les futures femmes enceintes d’un troisième petit bout, angoissées à l’idée de laisser un bébé quasiment naissant à la crèche.

On ne culpabilise plus

A la naissance de votre deuxième enfant, vous culpabilisiez à l’idée de passer plus de temps avec lui qu’avec l’aîné. Aujourd’hui vous pouvez sereinement laisser les deux premiers jouer ensemble et vous occuper tranquillement du petit dernier sans culpabiliser.

Parfaitement équipé

Plus besoin de racheter de poussette, de lit, de jouets (quoique bébé n’en n’a jamais assez), de vêtements d’allaitement… Vous êtes déjà parée à agrandir la famille. Ne reste plus qu’à s’armer de couches, de tétines et de quelques achats compulsifs pour parfaire l’arrivée du petit nouveau.

Parce que vous en avez terriblement envie

L’émotion des premiers regards, des premiers câlins, tenir ce petit être dans vos bras… Vous aimeriez tant revivre ces moments de tendresse avec un troisième poupon.  Vous vous sentez prête à revivre une nouvelle grossesse ? Jeune, expérimentée et pas encore ménopausée ? Pourquoi vous en priver. De nombreuses femmes ont encore des enfants après 35 ans. S’il s’agit d’une grossesse tardive, sachez que vous serez l’objet de toutes les attentions de la part des médecins.

Un petit troisième plus facile à gérer

A défaut d’avoir ses parents pour lui tout seul, on dit que le petit troisième apprend plus vite à partager et à patienter. D’où un caractère souvent plus tranquille.

Elles ont franchi le cap

Mon mari et moi avons longtemps hésité avant de mettre en route un troisième enfant. Nous avions peur de ne pas être capable de gérer trois enfants, de ne pas avoir assez d’avoir d’argent pour satisfaire les besoins de toute la tribu et partir en vacances. Mais aujourd’hui, nous sommes pleinement heureux. Parents de deux magnifiques petites filles et d’un adorable garçon, nous sommes comblés. Côté vacances, nous sommes s’ailleurs devenus les rois de la débrouille et des bons plans. Si c’était à refaire, je signerai sans problème pour ce troisième bébé.

Louise, 40 ans

Enfant unique, j’ai toujours voulu avoir plusieurs enfants. Trois me semblait le chiffre parfait. Aujourd’hui maman de deux garçons et d’une petite fille de 18 mois, je suis une maman comblée de bonheur. Pour ma dernière grossesse, ça n’a pas été la panique comme pour les deux premières. J’étais beaucoup plus détendue. J’avais pris des cours d’haptonomie avec mon marie et suivi des séances de yoga pour me relaxer. De plus, j’étais déjà très organisée et j’avais tout l’équipement nécessaire pour accueillir l’enfant. Aujourd’hui, même si mon planning est toujours très serrée, je sui très heureuse d’avoir aussi jolie et grande famille.  

Manon, 38 ans