Jeune maman d’un petit Jules né en avril cette année, Astrid Veillon confie qu’elle a préféré à deux reprises mettre un terme à sa grossesse.
Normal
0
false
false
false
MicrosoftInternetExplorer4
/* Style Definitions */
table.MsoNormalTable
{mso-style-name: »Table Normal »;
mso-tstyle-rowband-size:0;
mso-tstyle-colband-size:0;
mso-style-noshow:yes;
mso-style-parent: » »;
mso-padding-alt:0in 5.4pt 0in 5.4pt;
mso-para-margin:0in;
mso-para-margin-bottom:.0001pt;
mso-pagination:widow-orphan;
font-size:10.0pt;
font-family: »Times New Roman »;
mso-ansi-language:#0400;
mso-fareast-language:#0400;
mso-bidi-language:#0400;}
C’est dans les colonnes du magazine Gala, que l’actrice parle de ses deux interruptions de grossesse. « La première, à dix-huit ans, parce que je me droguais et que donner la vie dans ces conditions était inconcevable. La seconde, à trente ans, car je savais que ce n’était pas le bon papa ». Astrid Veillon nous raconte sa grossesse dans un livre, intitulé Neuf mois dans la vie d’une femme (éd. Calmann-Lévy) et dont la sortie est prévue pour le 9 octobre. Elle y relate les petits désagréments et les joies que toute future maman vit à un moment ou à un autre pendant neuf mois. « Les quatre premiers mois, j’ai tout eu : fatigue, nausées, angoisse, j’en passe. À partir du sixième mois, j’ai commencé à souffrir du dos, des reins. Plus l’accouchement approchait, plus j’avais de peine à marcher », se souvient-elle. La maternité c’est une tout autre étape dans la vie de l’actrice où celle-ci compte bien prendre son temps et profiter pleinement de son fils.